Mar 14 Oct - 11:01 par Coeur de Rose
CAMPI's PRÉSENTATION
PAPiER S'iL VOUS PLAiT.
>>Miaaaw ?<<
>>Miaaaw ?<<
NAME : Larme du Campagnol
YEARS OLD : 34 Lunes !
RANG : Guerrier !
CLAN : Ombre !!
SEXE : Mâle.
YEARS OLD : 34 Lunes !
RANG : Guerrier !
CLAN : Ombre !!
SEXE : Mâle.
Description.
>>Mraaouw, si ça peut vous arranger !<<
>>Mraaouw, si ça peut vous arranger !<<
Caractère : Campagnol n’est pas quelqu’un de facile à supporter. Il est toujours dans son monde. Sa personne est, dans son imagination, ce qu’il voudrait être plus tard. Un guerrier reconnu, puissant, capable de battre un nombre infini d’ennemi à la suite. Au fait il a créé son personnage ainsi, pensant que lui ne pourrait jamais être comme ça. Il se sent trop inférieur aux autres. Mais il a aussi peur de se retrouver seul. La solitude est ce qu’il déteste le plus. C’est pourquoi lorsqu’il se retrouve seul, il démarre sa petite pièce de théatre. C’est quelqu’un qui en fait toujours trop, de peur que de ne pas en faire assez il soit rejeté. Il a besoin des autres pour vivre. Cela lui fait peur, car il veut être comme tous ces héros qui sont maintenant dans le clan des Étoiles. Son plus grand modèle est Etoile Filante. Un ancien chef du Clan du Vent. C’était, pour lui, le plus grand meneur qu’il ait existé dans les clans. C’est en lui qu’il croit lorsqu’il regarde la toison d’argent. C’est un petit qui ne manque pas d’imagination, c’est toujours lui qui choisi des jeux à faire avec les autres chatons du clan. C’est encore un bébé, donc c’est normal qu’il soit un vrai trouillard. Même lorsqu’il essaie de faire le courageux en pensant à Etoile Filante, il ne peut s’empêcher de trembler. Il a toujours quelque chose à dire. Il s’est entraîné à toujours pouvoir parler, pour ne pas laisser de conversation blanche, pour ne pas être seul. Petit Campagnol est extrêmement généreux. Il donnerait tout pour les autres. Il est plein d’énergie et l’utilise beaucoup pour ses jeux. Sa plus grande hâte est de devenir un apprenti, car c’est ça qui mène à être guerrier. Il aime en faire trop de façon à pouvoir “veiller” sur les autres. Leur faire croire qu’il est idiot alors qu’il est loin de l’être. C’est parce qu’il se sent inférieur qu’il lutte pour devenir plus fort. Seul quelqu’un qui a confiance en lui peut protéger ses amis. C’est ce qu’il doit trouver, la confiance.
Physique : « – C’était un héro. Un chat que personne n’a jamais réussi à surpasser. Le meilleur, un dieu ! Il était fort, agile, rapide ! Il avait tout. Son pelage mélangeait les deux couleurs opposées depuis la nuit des temps, du magnifique noir aussi sombre que le jais, et du blanc, aussi pur que la neige, aussi doux que la soie. Tout le monde enviait ce corps d’athlète ! Des pattes musclées et puissantes, pouvant faire taire n’importe qui ! Des griffes aussi aiguisée que celles des blaireaux, ce chat n’avait peur de rien ! Ses poils, longs et touffus lui donnait ce coté supérieur, ce coté protecteur. À ses cotés, nous ne pouvions plus ressentir la peur. Tout le monde criait son nom lorsqu’il était en danger, et il arrivait aussi tôt tel un grand guerrier. Les plus grands chefs l’avaient remercié des grands miracles qu’il avait créés ! Il était surprenant, imbattable. Sa puissance était équivalente à celle d’un lion. Beau et fort, tel un héro. Ses yeux, couleur olive, perçaient n’importe quel mouvement. Le regarder nous envoûtait. Il était parfait. Aussi parfait qu’un héro. Nous pouvions tous compter sur lui. Il était unique. » dit Petit Campagnol à propos de son personnage principal. Le chaton est pareil physiquement, bien que plus petit, étant un chaton, et bien moins “musclé” que son héro. Le petit a effectivement un pelage marqué de noir, sombre comme le jais et de blanc, clair comme la neige. Ses yeux sont d’une magnifique couleur olive, et nous apportent confiance dès qu’on les regarde. Il a de petites pattes qu’il entraîne chaque jour en jouant. Son poil long le rends un peu plus grand, il lui donne une carrure plus forte que celle d’un chaton aux poils courts. Minou voulait devenir tel son héro. Son héro qu’il espérait pouvoir voir un jour, c’est-à-dire lui adulte.
Histoire : « – Fais vite… Viens vite… Je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps.» murmurait Sourire d’Été, avec peine. La belle chatte était d’un beau poil long et coloré d’un beige illuminé, comme les épis de blé séjournant dans les champs. Cette beauté accompagnée de magnifiques yeux couleur olive, malheureusement à ce moment précis rempli de larme. La douleur l’empêchait de bien respirer. Mais elle essayer de tenir le coup. Elle devait l’attendre. Elle ne pouvait pas mettre au monde ses petits tant que son bien aimé n’était pas là. Stresse et empressement. Il fallait qu’il soit là. Elle ne pouvait pas commencer sans lui. Pourtant, elle devint tellement fatiguée et désespérée qu’elle dû débuter sans lui. Des miaulements de douleur se faisaient entendre à l’autre bout de la lisière où elle s’était posée. Sang, cris et larmes. Alors qu’elle commençait à abandonner sous la souffrance, un mâle au pelage sombre vint se poser à côté d’elle, de façon à ce que leurs poils se mélangent. Il pressa son museau sur le coup de la femelle puis le lécha le museau. Elle ne sentait plus la douleur, elle ne sentait plus que Prince des Ombres à ses cotés, l’aidant comme il pouvait. Sa respiration était courte. Elle voulait parler mais n’y arrivait pas. Le remercier, lui dire je t’aime, puis lui parler des noms qu’elles donneraient à ses enfants. Des petits miaulements aigus résonnèrent alors dans la clairière. Le premier était là, les yeux fermés, le corps faible et fragile. Sourire d’Été le prit entre ses pattes et lui fit sa première toilette. Son pelage était un mélange de noir et de blanc, ses yeux lui étaient encore inconnus. La jeune mère reprit alors son travail, sous les regards encourageants de son bien-aimé. Elle respirait difficilement. Elle perdait beaucoup de sang. Le premier avait vraiment été un lourd travail, le deuxième serait-il bien plus simple ou pire ? Elle regrettait de penser comme ça mais c’était la dure réalité. Alors qu’elle travaillait et travaillait de toutes ses forces, ses yeux commencèrent à perdre la lumière. Elle ne se demandait pas pourquoi, elle devait juste donner naissance à son petit. Pourtant elle avait un regard vitreux, vide. Comme si elle n’avait plus le pouvoir de guider ses yeux. Puis un cri de soulagement. Prince des Ombres emportait le deuxième chaton dans les pattes de sa mère. Elle ne le voyait pas, mais sentait son petit corps bouillant contre le sien. Les larmes coulèrent sans qu’elle ne s’en aperçoive, mais elle commença rapidement la toilette de son deuxième fils.
« – Prince, je suis désolée… murmura-t-elle, essoufflée, à bout de force.
– Qu’y a-t-il mon amour ? demanda-t-il, les larmes aux yeux en voyant l’état de sa bien-aimée.
– Merci pour tout… Je t’aime tant, Prince. Tout ce que je te demande à présent, c’est qu’ils s’appellent Petit Campagnol et Petit Chemin… dit-elle avec peine.
– Sourire d’Été ? Répond-moi ! Mon amour ! Reste ! S’il te plaît, je ne saurais quoi faire sans toi !
– Je t’aimerais toujours Prince. Prends soin des petits, au revoir mon prince… dit-elle d’une voix presque absente, dans son dernier souffle.
– Sourire d’Été ! NON ! Reviens ! Sourire d’Été ! » cria-t-il, faisant de ses pleurs de véritables échos. Les larmes ne se comptaient plus. Le sang de sa bien-aimée, étendu sur le sol, commençait à s’encrer dans son pelage sombre. Le mâle la pleurait, la criait, la priait. Les petits étaient toujours dans les pattes de la femelle. Ils baignaient dans le liquide rouge de leur mère. Un jour censé être magnifique était devenu le plus horrible qu’il ait pu vivre. Il plongea son museau dans le pelage doux mais maintenant sali de Sourire d’Été, et resta là, pendant des heures, oubliant les petits. Eux essayaient tant bien que mal de trouver du lait, vous savez, ce lait que tout chaton a le droit de déguster à la naissance. Ils en étaient privés. Et pendant les heures où leur père souffrait sur le corps de son amour, l’un d’eux, trop maigre pour continuer à vivre dans ces conditions lâcha un petit soupir, puis s’endormit à jamais. Seul Petit Campagnol, le petit mâle noir et blanc, déjà attaché à son frère essayait de le réanimer, poussant le corps inerte avec son museau, et le priant de revenir avec de petits miaulements aigus. Le pauvre nouveau-né, déjà désespéré après seulement quelques heures de vies s’endormit à son tour, laissant Prince des Ombres seul dans le monde réel.
Le jeune père sursauta alors après avoir entendu un bruit étrange provenant des buissons. Il scruta les alentours. Cela n’était un lapin qui passait par là. Le matou secoua la tête. Pour lui, les larmes n’existaient plus. Ils les avaient toutes déversées dans le pelage de Sourire d’Été. Il prit alors les deux petits à ses cotés, commençant leur toilette, leurs poils étant plein de sang. Il commença par l’aîné, Petit Campagnol. Sous les coups de langues de son père, le chaton se réveilla, puis, mort de faim se mit à miauler bruyamment. Le père le laissa crier, puis pris son deuxième fils, Petit Chemin. Il commença la toilette, jusqu’à remarquer quelque chose qu’il n’aurait jamais voulu voir. Son petit ne respirait plus. Son corps était maintenant comme celui d’une poupée de porcelaine. Froid et fragile. Les yeux du père s’écarquillèrent. Pendant qu’il pleurait toutes les larmes de son corps pour sa bien-aimée, son petit, trop faible, avait perdu la vie. Il s’en voulu. Il voulait pleurer. Mais cela n’était plus possible. D’un geste lent et mou et se leva alors, puis commença à creuser à l’aide de ses pattes. Creuser, creuser la tombe de celle qu’il aime et de son fils. Petit Campagnol, peinant à marcher, vint alors vers lui, puis se colla à lui. Le petit chaton s’était tu. Prince des Ombres ne comprenait pas, mais accepta le geste d’affection du petit. Il enterra alors les êtres qu’il chérissait et qu’il voulait chérir, puis, le survivant dans la bouche, parti en direction du camp, effondré.
« – Peux-tu me rendre un service ? C’est important, s’il te plaît. Supplia-t-il.
– Ce serait un plaisir mon grand, dit moi ce que ne va pas, et ce que je peux faire pour toi. Dit Brise des Champs.
– J’ai perdu Sourire d’Été et Petit Chemin. Je ne serais jamais capable de rendre ce petit heureux. S’il te plaît, prend-le dans ta portée, occupe-toi de lui comme ton fils, je ne peux rien faire en tant que mâle.
– Je suis désolée pour Sourire d’Été et Petit Chemin… Oui, je vais prendre ton petit, si cela est ton souhait. Tu as raison c’est bien mieux pour lui. Mais toi, que vas-tu faire, mon pauvre ami ? répondit-elle, les larmes aux yeux après avoir appris la mort de son amie Sourire d’Été.
– Je vais partir. Dis aux autres que je suis mort. Et fais disparaître mon nom de cet endroit. S’il te plaît, fais que mon fils soit heureux.
– Ce n’est pas une tâche bien facile que tu me donnes, mais j’essaierai. Tu peux compter sur moi. Adieu mon ami.
– Adieu Brise des Champs. Adieu. » dit-il dans un dernier regard sur son fils. Voilà. Il partait. Il s’enfuyait. Il ne savait même pas où il allait, mais tout ce qu’il voulait c’était partir loin. Il regarda alors une dernière fois le crépuscule tombant sur le camp, puis disparu. Ce qu’il fit en dernier, en sortant de sa terre natale, c’est prier pour que son fils ne vive pas les mêmes malheurs que lui, et qu’il soit heureux. Petit Campagnol devait être quelqu’un qui aurait le cœur d’être fier de son père. Allait-ce être possible ?
« – Mwahaha ! Vous ne pouvez rien contre moi ! Ici, c’est MOI le chef ! » s’écria le petit chaton, regardant dans le vide. Il se dandinait devant un public invisible. À travers ses yeux pourtant, on pouvait voir un trio de gros matous noirs, à terre. Est-ce qu’ils étaient morts ? Est-ce qu’ils s’inclinaient ? Seul le chaton le savait. Il donna alors un coup de griffe au vent. Puis plusieurs. Il se roulait par terre et feulait comme si un autre chat lui faisait face. Alors il se retrouva debout, fixant le sol. Il se pencha près de l’herbe, puis murmura que c’est lui qui avait gagné. Alors qu’il triomphait dans son petit monde, comme étant le grand Petit Campagnol, un appel l’empêcha de mettre K.O son nouvel adversaire.
« – Petit Campagnol ! C’est l’heure de la toilette ! Viens tout de suite dans la pouponnière ! criait Fleur des Champs.
– J’arrive, ma belle demoiselle en détresse ! s’écria-t-il, se précipitant vers le nid après avoir donné un dernier coup de patte au vent. Ton preux chevalier est arrivé ! » Sans qu’il ait le temps de ressortir une autre phrase dans le genre, la reine le prit entre ses pattes pour lui faire sa petite toilette matinale. Il ne se débattait pas. Il prenait cela pour une récompense après avoir terrasser l’ennemi. Sa vie imaginaire était passionnante. C’était un héro. Oui, un héro comme il rêvait d’être dans le monde réel. Quelqu’un qui serait capable de tout accepter. Quelqu’un doté d’une gentillesse sans faille. Et surtout quelqu’un qui, face à la vérité pourrait tout pardonner…
Rooh è.é T'aurais pu t'améliorer sur l'esthétique de ta présentation !
Dernière édition par Larme du Campagnol le Sam 5 Nov - 16:10, édité 1 fois
